Aux films des pages

A la découverte des fictions

Les Triplettes de Belleville : Du jazz et du vélo

Écrit par: JS - oct.• 18•14

Madame Souza vit seule avec son petit-fils, Champion, un enfant orphelin, et son chien Bruno. La vie triste et monotone de l’enfant change au moment où il reçoit son premier vélo. Après des années d’entraînement, encouragé par sa grand-mère, Champion décide de participer au Tour de France. Mais, lors de la course, il est enlevé par deux hommes en noir qui l’emmènent outre-Atlantique, à Belleville, où il est exploité par des mafieux. Pourtant, une femme courageuse comme Madame Souza ne se laisse pas abattre. Elle prend son chien et ils partent tout deux en Amérique pour retrouver Champion. Par chance, ils font la connaissance des Triplettes de Belleville, trois femmes curieuses – chanteuses de jazz populaires dans les années 30, mais aujourd’hui oubliées – qui vivent dans la pauvreté. Avec leur aide, ils se mettent en quête du cycliste disparu…
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Le père de la mariée: Tout n’est pas si rose dans un mariage

Écrit par: AI - oct.• 11•14

Un mariage = des mariés heureux, des mois de préparation pour le jour J, un petit nuage rose d’amour… Mais vous êtes-vous déjà demandé comment réagit le père de la mariée face à tout cela?!? Le film de Charles Shyer propose de répondre à cette question avec beaucoup d’humour. (suite…)

Les neuf vies d’Edward : Amour félin

Écrit par: JS - oct.• 11•14

Elle s’était éveillée avant lui. Elle l’avait regardé puis elle avait refermé les yeux pour mieux sentir son ventre chaud contre le sien. Elle avait respiré son odeur, juste au-dessous du cou, et s’était répété, comme tous les matins depuis leur rencontre, que ces moments de sérénité s’accordaient avec l’espoir et la naïveté de l’aube. Delphine restait allongée sans bouger, refusant de tirer Edward de son sommeil, profitant de son inconscience pour l’observer, pour se repaître de sa beauté, s’en délecter.

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A l’endroit où elles naissent : Le bonheur dépend-il de la géographie?

Écrit par: AI - oct.• 04•14

Il faut être fort pour ne pas se perdre. Notre chemin n’est pas tracé même si l’on naît du bon côté. Pile ou face. Encore faut-il avoir une pièce dans sa besace.

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Oh my God ! (Hysteria) : Une histoire du plaisir

Écrit par: JS - oct.• 04•14

Dans la Londres victorienne de la fin du XIXème siècle, Mortimer Granville (Hugh Dancy), jeune médecin qui adhère aux progrès de la science pour faire avancer la médecine, peine à se faire entendre par ses confrères. Après un énième renvoi, il entre au service du Dr. Dalrymple (Jonathan Pryce), spécialiste dans le traitement de l’hystérie féminine. Le traitement que se dernier préconise est la stimulation manuelle des patientes afin de leur faire atteindre un paroxysme qui permet d’avancer vers leur guérison. Rapidement, le Dr. Granville est sujet à des crampes, qui rendent sa pratique moins efficace. Avec l’aide de son ami, Sir Edmund St-John Smythe (Rupert Everett), passionné de nouvelles technologies, il élabore un objet qui permettrait de soigner les patientes en épargnant les mains du docteur : il invente donc le premier vibromasseur. En parallèle, la fille au fort tempérament (Maggie Gyllenhall) du Dr. Dalrymple, féministe engagée, aimerait qu’il s’occupe plutôt des plus démunis plutôt que de soigner des femmes qui, comme elle l’estime, n’en ont pas particulièrement besoin.

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Carnage : Un brillant huis clos

Écrit par: AI - sept.• 27•14

Un enfant frappe un autre avec un bâton et lui casse une dent. Ceci est une raison suffisante pour que leurs parents, deux couples BCBG, se rencontrent afin de régler le problème à l’amiable: le film peut démarrer. Dans ce huis clos aux débuts polis et pleins de retenue, les langues se délient peu à peu et laissent finalement la place au « carnage » final. (suite…)

Écoute la pluie : La pluie intérieure

Écrit par: JS - sept.• 27•14

J’ai emprunté un itinéraire de hasard, m’enfonçant dans la ville comme dans une terre inconnue, en quête d’un endroit où l’image du vieil homme ne m’atteindrait plus, où je n’entendrais plus les crissements des freins ni les sanglots du conducteur. J’avais oublié l’heure du train, je ne pensais à rien, j’étais dans le vertige d’une chute qui n’en finissait pas et, de temps à autre, je m’adossais à une vitrine pour ne pas céder au vide.

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Central Park: Une enquête bien mystérieuse

Écrit par: AI - sept.• 20•14

Il y a des moments dans l’existence où une porte s’ouvre et où votre vie dérape dans la lumière. De rares instants où quelque chose se déverrouille en vous. Vous flottez en apesanteur, vous filez sur une autoroute sans radar. Les choix deviennent limpides, les réponses remplacent les questions, la peur cède la place à l’amour. Il faut avoir connu ces moments. Ils durent rarement.

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La Belle et la Bête : Plein les yeux, rien dans la tête

Écrit par: JS - sept.• 20•14

Un marchand (André Dussolier), ruiné par le naufrage de ses navires, se retrouve dans l’obligation de s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux, se trouve Belle (Léa Seydoux), jeune fille aux goûts simples qui prend ce coup du sort comme il est, sans s’en plaindre et, bien au contraire de ses sœurs, plutôt gaiement. Quand un des navires est retrouvé, le marchand croit à un revirement de fortune. En rentrant chez lui, il tombe sur un château en ruine teinté de magie, d’où il ressort repu et riche de joyaux apparus devant lui. Cependant, avant de partir, il décide de prendre une rose pour Belle. Mal lui en prend, puisqu’il se retrouve face à la fureur de la Bête (Vincent Cassel), maître du château. Il a le droit de rentrer chez lui pour dire adieu à ses enfants, mais doit ensuite revenir. Apprenant cela et se sentant coupable, Belle décide de prendre la place de son père. Là, elle rencontre la Bête, qui n’a pas l’intention de la tuer. Par d’étranges rêves, elle apprend son histoire…

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Lancelot, le premier chevalier : Hollywood s’immisce chez Arthur et ses chevaliers

Écrit par: AI - sept.• 13•14

Le premier chevalier présente une énième tentative de dépeindre le monde arthurien. Dans ce film, Lancelot (Richard Gere), futur « premier chevalier » d’Arthur, est dépeint comme un solitaire indépendant du monde chevaleresque qui, cheveux au vent et tenue de cuir, devient finalement un chevalier quelque peu réticent. (suite…)



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